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La musique est «l’art d’organiser les tons par rapport au temps pour former un tout». Une fois que l’on comprend cela et qu’on apprend à appliquer ce concept à tous les aspects de la vie, tout à coup, toute relation désespérée semble vivante et réelle … pleine d’espoir et harmonieuse. L’harmonie consomme la musique.
L’harmonie est un processus, sa composition est continue, c’est de la musique. Comme les relations, il stacatto, tangage haut et bas, pour et contre, mais une fois mis ensemble, il y a de la musique. Étonnamment appelé «harmonie». L’harmonie est infinie, illimitée. Ennuyeux ou intéressant, tout comme les gens. L’harmonie n’a pas de règles, seulement l’improvisation, la limite des théories. Il est crucial que l’on s’en rende compte afin de réussir des relations … de la belle musique. L’harmonie est intemporelle, mais comme le temps et la musique, elle est cyclique, elle a des intervalles, symétriques ou non, avec un sens du temps immobile, dense, planant ou non. J’ai constaté que mon niveau de tolérance envers les gens a augmenté avec le temps simplement en acceptant leur «hauteur» comme faisant partie des accords qui contribueront à la chanson finale. Je n’ai pas encore vu comment tout cela va se dérouler, mais je sais que ce sera le meilleur morceau de l’histoire de la musique qui se produira.
L’harmonie est téléologique ou métaphysique, sans but. Bien que je crois que tout dans la vie a un but. Elle est coordonnée ou subordonnée, intrinsèque ou extrinsèque, elle s’adapte à la nature avec raison ou sans … hors de propos. L’harmonie est pertinente. Il est, dans tous les aspects, dans toutes les dimensions, dans chaque voyage, dans chaque manuscrit, nécessaire et doit être autorisé sans limites. Il est important que l’on comprenne que la confrontation et le conflit ne signifient pas nécessairement que l’harmonie fait défaut, car c’est précisément ce qu’est l’harmonie et ce qui contribue au meilleur type de musique. La meilleure musique est créée par une harmonie qui s’aventure dans des accords / hauteurs extrêmes. L’harmonie a besoin d’une tension ou d’une relaxation soutenue pour maintenir le drame ou apaiser. Qu’elle soit consonnante ou dissonante, drone ou distinguée, parfaite ou imparfaite, sage ou folie, l’harmonie est inhérente par nature à sa qualité de son et de perception, à l’intérieur ou à l’extérieur. Il est pitché, multi-pitch ou non. C’est simple, équilibré et beau, culturel et en phase avec la nature. Harmonie staccatos avec clarté ou non, ses intervalles sont parallèles parfaits ou non, ses hauteurs ne sont pas nommées par nature, mais sont douze, comme des disciples, des religions, des hauteurs qui font que tout se passe.
Indépendamment de la note fondamentale, c’est dans la mesure où son son peut être perçu, ou brouillé par des harmoniques, des tritones, empoisonnés par des circonstances qui produisent une certaine statique. L’harmonie est mélodique, symphonique, intéressante ou pas. L’harmonie est orchestrée, lorsque les accords s’unissent, soprano, alto, ténor, basse, baryton, enveloppés ou disjoints, désorganisés ou non. L’harmonie est relative à un degré, basé sur le pied, la note fondamentale. L’harmonie est créée, concorde ou controversée et conflictuelle, hauteur contre hauteur, combinant des notes, chacune avec leurs intervalles spécifiques, en utilisant simultanément différentes hauteurs et accords. L’harmonie est réelle ou implicite, aléatoire et sûre. Il gouverne. C’est universel, vertical ou horizontal, c’est la structure ou non, de la musique et de l’univers. L’harmonie est texturée, ordonnée et sporadique, profilée et rythmée, combinant des éléments contrastés, contre-pointus, indépendants, polyphoniques ou conformes. L’harmonie se résout, contrecarre, se dissout ou non, en s’équilibrant dans ses propres profondeurs, ou en s’autodétruisant pour condamner.
On a donc beaucoup de choix quant au type de musique que l’on va produire. Gardant à l’esprit que l’essence de l’harmonie est la mise au point, pacifique ou vexatoire, juste, à double tranchant, satisfaite ou gourmande, équilibrée, dans son voyage vers la maîtrise de soi, la perfection de son âme. J’ai découvert que le meilleur type d’harmonie est humiliant, me forçant à écouter et à composer des genres de musique dynamique. Je soutiens l’harmonie comme sacrée, car elle persiste dans l’éternité. Je pense à l’harmonie, je crée de la musique et je comprends les relations. Mes espoirs pour la conscience humaine de l’harmonie dans son cœur, dans son esprit, en grattant ses cordes, en battant ses percussions, en soufflant ses bois et cuivres, c’est que l’humanité prenne conscience de la responsabilité de créer Un n’est qu’un instrument, utilisé à des fins d’intégration. , d’être objectif ou subjectif, juste ou injuste, de faire une si belle musique ou non, cause finale ou non. Mon rêve pour un monde d’harmonie qui, à coup sûr, imitera toute gloire à Dieu et ici réside la clé, pour faciliter et permettre une harmonie qui procurera et permettra la plus belle musique.
par Simone Galy-Laquis.
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Source by Simone Galy-Laquis