Le premier festival d’Assouan pour la musique et la chanson: l’idée de Yasser Mofaddel pour célébrer la musique africaine

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L’Afrique est un continent riche en musique, en arts et en culture. La musique africaine a survécu à différentes formes de transformation dans l’industrie mondiale de la musique. Il y a eu plusieurs genres musicaux tels que le jazz, la musique pop, le blues, le rock and roll, le reggae, le ragga, le R & B, les chansons indiennes et arabes qui ont eu un impact sur la musique traditionnelle africaine. Il y a maintenant de la musique highlife qui a beaucoup d’éléments traditionnels. Il a donné naissance à un nouveau genre de musique appelé hip-life et hip-hop, largement influencé par la musique Western Ragga. L’influence se voit également dans l’utilisation d’instruments de musique occidentaux tels que guitares, pianos, saxophones, cymbales et autres. Une synergie organisée à la fois des instruments traditionnels et des instruments de musique étrangers aboutit à des instrumentaux rythmiques intéressants qui, associés à des paroles moralement éducatives, produiraient une excellente musique qui éduque et divertit moralement les auditeurs. La musique traditionnelle en Afrique sert de véhicule pour mettre en valeur le patrimoine culturel immatériel des Africains. La musique africaine doit être un outil puissant pour promouvoir la paix et le développement en Afrique. C’est le rêve de longue date du président du festival de musique d’Assouan, Yasser Mofaddel.

Le festival d’Assouan vise à rassembler différents types et rythmes des divers chants, cultures et arts traditionnels de différents pays d’Afrique. Ce serait un outil pour célébrer l’unité africaine, tout en favorisant l’hybridité culturelle entre les différents États africains. Fait intéressant, le festival mettrait en valeur le riche patrimoine culturel artistique de l’Égypte, premier centre de civilisation du continent africain. Cela ouvrirait des portes aux échanges touristiques entre les pays africains, renforçant les relations commerciales qui stimuleraient le développement de l’Afrique.

En outre, le festival d’Assouan ouvrirait des voies pour promouvoir, préserver et diffuser les genres musicaux traditionnels africains qui encapsulent le riche patrimoine culturel de l’Afrique. Célébrer l’Afrique par la musique est un excellent moyen de préserver les riches valeurs africaines d’amour, de paix, de solidarité et d’unité pour lesquelles les ancêtres intelligents africains se sont constamment battus. La promotion de l’organisation de ce festival de musique chaque année serait une occasion solennelle pour les anciennes et les jeunes générations en Afrique de se souvenir de la vertu africaine que nous sommes un peuple, une force puissante pour mettre fin aux guerres, à la misère et à la haine qui déchire le grand tissu. de l’unité des peuples africains.

Il est impératif que les ministères de la culture, des arts et du patrimoine ainsi que du tourisme dans les différents pays africains soutiennent l’idée géniale de Yasser Mofaddel en rapprochant l’Afrique par la musique. Ils peuvent offrir une telle assistance sous forme de financement, de publicité et de marketing pour l’organisation réussie de l’événement du 9 au 15 décembre 2020. Ce festival de musique serait une merveilleuse plate-forme pour relancer les résolutions de paix africaines et les efforts menés par l’égyptien Gamal Abdel Nasser, le Kenyan Wangari Maathai, le Nigérian Chinua Achebe, les Ghanéens Kwame Nkrumah et Kofi Annan, les Sud-Africains Nelson Mandela et Desmond Tutu, le Sud-Soudanais John Garang De Mabior, le Tanzanien Julius Kambarage Nyerere, la Libérienne Ellen Johnson Sirleaf, le Le Rwandais Paul Kagame et de nombreux autres héros africains de la paix.

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Source by Dickson Adom

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